Je préfère les vers rimés
Car bien arrimés
Ils soufflent en chœur
Cette mélodie gonflant le cœur
S'ancrant dans la mémoire
Ils ne vous quittent que le soir
Quant la brise s'éteint
Et le bras de Morphée vous étreint
Car bien arrimés
Ils soufflent en chœur
Cette mélodie gonflant le cœur
S'ancrant dans la mémoire
Ils ne vous quittent que le soir
Quant la brise s'éteint
Et le bras de Morphée vous étreint
Les vers blancs
Je les préfère gigotant
Au bout de la canne à pêche
Avant que le vent les assèche
Pour séduire le simple poisson
Moins sensible aux caresses des sons
Appâté par sa gourmandise des mots.
Il se laisse ferrer par les maux
D’un poète en détresse, que le temps presse.
Je les préfère gigotant
Au bout de la canne à pêche
Avant que le vent les assèche
Pour séduire le simple poisson
Moins sensible aux caresses des sons
Appâté par sa gourmandise des mots.
Il se laisse ferrer par les maux
D’un poète en détresse, que le temps presse.
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